Le Club Ardenne Ecotourism compte plus de 40 nouveaux membres
Le Club Ardenne Ecotourism a connu une très forte progression durant l’année 2023. Pas moins de 42 nouveaux opérateurs ont franchi le pas et s’investissent pour préserver l’environnement tout en continuant à développer leur activité touristique.
Les membres du club sont issus de différents secteurs, on y retrouve des hébergeurs, des prestataires de loisirs de pleine nature, des sites touristiques et des restaurants. Une carte interactive permet de retrouver l’ensemble des prestataires engagés : voir la carte.
Différentes actions sont mises en place pour animer le réseau et valoriser les membres, ainsi les plus engagés sont valorisés sur le site web grand public, www.visitardenne.com, par le biais de portraits. Le principe : présenter l’adhérent ainsi qu’un bon plan durable pour promouvoir l’ensemble des initiatives du territoire ardennais: voir les portraits.
Vous souhaitez rejoindre le mouvement ? Rendez-vous -ici- pour compléter votre autodiagnostic !
Rencontres Écotourisme à Bouillon, le 1er juin 2023
Le Service provincial du tourisme et l’ADT des Ardennes, vous invitent le jeudi 1/6 à un événement axé « Tourisme durable » à Bouillon, salle des Sépulcrines.
Voici le programme :
• 13h00 Accueil café
• 13h30 Présentation du nouvel écokit de sensibilisation des clients aux écogestes
• 14-15h00 conférence animée par Denis Genevois, « Un Tour d’Avance » : « Affirmer et communiquer ses engagements en tourisme durable »
• 15-17h00 : workshop – 20 prestataires vous présenteront leurs offres de services innovantes et durables : cosmétiques, saveurs locales, textiles, solutions techniques, ….made in Ardenne côtés français et belge luxembourgeois réseautage
Accès libre à tous. Adresse du jour : Salle des Sépulcrines, Quai des Saulx à Bouillon
Inscrivez-vous sans tarder via le formulaire avant le 30/05
Lien Google Form : https://forms.gle/U9PdjDvcFydroCC56
Au cours de nos balades, nous passons à côté de véritables trésors sans le savoir. Le long des chemins ou des prés, les plantes sauvages poussent naturellement : il suffit de se pencher pour les cueillir. Et pourtant, nous avons perdu ce geste ancestral. Barbara transmet ce savoir en organisant de belles journées découvertes à Florenville. Entre cette quête d’autonomie et de révolution, partons à la rencontre d’une vraie passionnée.
Jamais l’envie de jardin nourricier n’a été aussi forte. Les journées sur le terrain que propose Barbara sont une invitation à faire de cette nature une nouvelle compagne, à s’émerveiller de sa richesse et de son abondance. « Les gens découvrent ainsi la bienveillance des plantes sauvages », me lance Barbara. Pourtant, ces plantes non invitées dans nos jardins sont estampillées de « mauvaises herbes ». La nature est pléthore : sur les 1500 plantes que l’on trouve en Ardenne, 150 sont seulement toxiques mais il faut les connaître. Barbara me parle des cigües, digitales et autres belladones… Étonnamment, on aurait gardé cet instinct de cueilleur-chasseur : selon Barbara, « je sens l’endroit, je sais où se trouve les bonnes plantes… »
De la cueillette à l’assiette
Barbara redonne les lettres de noblesse aux plantes sauvages. Les salades qu’elle façonne nous offrent leur énergie verte, la chlorophylle. Elles sont savoureuses, rafraichissantes et sont dotées de qualité nutritive. Leurs odeurs et leurs saveurs peuvent varier de jours en jours : tout cela révèle l’identité d’une plante. Les visiteurs découvrent la centaine de plantes du jardin, toutes endémiques de la région. Par la suite, Barbara propose des recettes savoureuses et faciles à cuisiner : « je leur apprends à se familiariser avec les plantes, à apprécier le meilleur, en élaborant des salades, en agrémentant une assiette d’une note joyeuse, en apposant ici et là une belle fleur comestible ».
Le petit peuple des végétaux
Les plantes comestibles sont un ravissement pour les yeux et le palais.
« Dans l’atelier de cuisine, avec l’aide de chefs de restaurants réputés, nous créons de nouvelles recettes. Je leur apporte les bons tuyaux pour la préparation, à eux d’en élaborer la plus belle harmonie… »
Les plantes sauvages suivent le cycle de la vie. Elles s’imprègnent de la lumière du soleil, se gorgent d’humidité, d’azote et sont excellentes pour la santé. En se penchant simplement, on cueille une force de la nature : leur valeur nutritive contribue à notre équilibra alimentaire.
Dur comme le roc
La transmission de cette richesse par Barbara ne s’arrête pas aux plantes. Elle partage son autre passion, celle du débardage avec un cheval de trait ardennais en organisant des formations. Ce mode de débardage est écologique et durable. Il ne détériore pas les chemins rendus impraticables par les grosses machines forestières. Il passe sans bruit là où les engins ne peuvent s’aventurer. Barbara travaille à la voix et au cordeau, « Aar pour tourner à gauche ou « yeu » pour aller vers la droite ». Cette formation n’occasionne aucune contrainte au cheval : elle enseigne au débardeur en herbe les bons gestes. « Mon cheval adore les enfants. Lors de mes démonstrations, il se montre différent face à nos bambins. Je lui passe le cordeau et là se créée un échange magique. Le cheval lui donne confiance, il est un des piliers de la vie ». Cet être sensible ressent les gens qui ont un problème. Cette formation devient une vraie thérapie.
« Quand tu vois la tête de mon cheval s’appesantir au cou d’une jeune fille handicapée, tu ne peux qu’être ému… »
Sous son esprit cool, le cheval ardennais est un rude. Durant des siècles, il fut le fidèle compagnon des armées. Au vingtième siècle, l’ingratitude des hommes se manifeste quand il devient une simple viande de boucherie. Il est de nos jours l’un des patrimoines vivants les plus importants à préserver. Le cheval ardennais tout comme le débardage à traction animale mériterait d’être porté au rang du Patrimoine Mondial Immatériel de l’UNESCO. Barbara porte haut le témoin de ce métier, porteur d’un avenir respectueux de nos forêts.
En troisième place, le projet Wildrop, un hébergement autonome et écologique.
Cette mini-maison, la « Wildrop » permet de profiter du confort d’un hébergement mobile dans un cadre naturel. Ces équipements sont fabriquées en Belgique et suivent un cahier des charges strict respectueux de l’environnement. Ils offrent un hébergement dont l’empreinte écologique est minimale, Les matériaux utilisés sont naturels, de proximité et de qualité.
Le concepteur des « Wildrop » propose une autre innovation, le packraft :
Pagayer libre
Les lacs et les rivières fascinent et attirent le randonneur qui tente de retrouver les grands espaces naturels. Si à pied on se laisse évader par les paysages des cours d’eau, ils deviennent tout autre quand on décide de pagayer et de se laisser emporter par leur courant.
Venir en Haute Ardenne, c’est humer le souffle de l’aventure : le lac de Nisramont nous ouvre les images d’une nature sauvage. Tôt ce matin, la brume qui se diffuse m’emporte vers des ambiances venues d’ailleurs, des lacs du Grand Nord. Là nous attend Luc Van Ouytsel et ses enfants. Je cherche ce fameux packraft alors que des kayakistes s’affairent à mettre à l’eau leur embarcation. Avec un sourire non dissimulé, il me montre du doigt son sac à dos, « tout est là-dedans », surenchérit Luc…
La force de la simplicité
Rapidement ses enfants sortent du sac le packraft. Son concept se veut simple et bien conçu. Une fois déployé, je touche la membrane en caoutchouc qui semble indestructible. Son système de gonflage est ingénieux. « Avec l’aide de ce sac de compression, tu injectes l’air dans les boudins : pas besoin de gonfleur ou de pompe, tu pars léger, sans contrainte… », m’explique Luc. La pratique du canoë devient plus simple, moins contraignante : qui n’a jamais maudit le poids de ces kayaks en polyester ?
Médusé par un radeau
Le packraft s’intègre au tourisme durable et responsable.
« Il est, par essence, écologique. Comparé à un kayak de 30 kilos qui frotte et s’accroche au lit de la rivière, il offre une grande légèreté : il ne fait que glisser sur l’eau », me rappelle Luc.
Le packraft n’arrache rien et préserve le milieu aquatique. Et il passe en silence alors que les grosses embarcations se fichent lamentablement dans la glaise ou sur un rocher.
« Les transferts en bus, le transport des kayaks par des grosses remorques, c’est terminé », me détaille Luc.
Le kayakiste devient autonome et ne dépend plus d’un horaire pour revenir à son point de départ. Portant dans son sac à dos l’embarcation, il est libre comme peut être le courant d’une rivière. Le poids, c’est l’ennemi du randonneur. « Et en terme de poids, le packraft avoisine les deux kilos pour un monoplace : il est tout à fait envisageable de se lancer en itinérance »…
Autonomie et liberté
En packraft, la balade n’a pas plus de limite : on se laisse porter par le courant des rivières et on pagaye en silence. On se prendrait même à être un héro d’un roman de Jack London. En Ardenne, les possibilités de randonnée deviennent infinies. Rien ne peut enfreindre la progression du randonneur, ni un bras de rivière, ni un lac. Et la rivière devient son chemin, l’itinéraire se parcourt entre terre et eau.
En packraft, l’Ardenne se présente sous un autre visage : elle n’est que plus belle quand on glisse sur l’eau. Loin d’un effet de mode, le packraft revient à l’essentiel, au fondement même du canoë, celui de s’aventurer en toute discrétion et en totale liberté.
A la deuxième place de l’appel à initiative, une chambre d’hôtes farouchement attachée à faire découvrir le patrimoine local.
A Quiet Place, la grandeur de la simplicité
De la forêt d’Anlier, la route émerge dans une baie de lumière : bienvenue en Gaume où la volupté de son paysage et de ces villages charmeurs sont les échos de la douceur de son climat. Comme celui de Rossignol, un nom qui chante une joie de vivre. Là se situe une chambre d’hôtes pas comme les autres, la Quiet Place.
Est-ce le climat de la région, le cadre de vie que dévoile le village ? Mais l’accueil à la chambre d’hôtes, la Quiet Place est magnifique. Dès que l’on franchit la porte, on se sent un peu comme chez soi. Jacqueline a le sourire aux lèvres, tend sa main, ouvre sa maison et son cœur. « Mon corps du métier, c’est l’accueil, » me lance-t-elle. A Quiet Place, on revient aux fondamentaux de l’accueil ! Les visiteurs peuvent être choyé sans se trouver dans un espace de 2 hectares. Et comme je le rappelle à Jacqueline, sans jacuzzi, piscines ou autres sauna… La maison est simple, sans artifice : une chambre d’hôtes comme on les aime, sans luxe ostentatoire.
Une belle émulation dans le village
Selon Jacqueline, on n’est jamais trop petit pour créer quelques chose. La richesse se voit ailleurs : elle se situe à l’extérieur. A Rossignol, il existe une belle émulation d’initiatives privées. Lors de votre séjour à Quiet Place, des balades contées peuvent être organisées, d’autres partent à la découverte des fleurs sauvages tandis que des visites à la ferme de l’Espérance permettent de découvrir la fabrication du fromage.
« Toutes ces initiatives nous portent, on se sent vraiment entouré pour mettre en valeur ce slow tourisme… Nous sommes des micro-acteurs économiques pour notre région, un projet de monnaies locale pourrait peut-être voir le jour… », me lance Jacqueline, avec un sourire non dissimulé.
Un rêve de jardin
En ses murs, la bâtisse renferme également une histoire, liée à la tragédie de la Bataille des frontières en 1914 où tant de soldats français sont morts lors de ce terrible mois d’août. Un obus serait tombé sur la maison. Elle fut reconstruite à l’époque par les jeunes et est devenue une maison de comité : « cela leur a permis d’éviter le travail forcé en Allemagne », me rappelle Jacqueline.
La maison, toute mignonne, est entourée d’un joli jardin. Jacqueline l’a décoré selon le souvenir de celui de sa grand-mère, « un rêve de gamine… »…. Ce jardin est un véritable dialogue avec le végétal : il représente un peu son âme. Il est également une source de découverte pour les personnes handicapées : les fleurs odorantes comme la julienne des dames ou d’autres plus velues mettent en éveil leur sens.
Ce jardin est ouvert à tous : il vous invite à cueillir des fleurs comestibles et à préparer un pique-nique des plus savoureux, embaumé par les aromates.
A Quiet Place, on prend son temps : les touristes retrouvent une paix intérieure et apprennent à vivre autrement, à consommer moins, à utiliser avec parcimonie l’eau et à éviter les déchets. Jacqueline valorise le vrac et propose des boites vides que les clients peuvent remplir dans les épiceries locales. Quiet Place a transformé cette simplicité en force : le tourisme durable a de beaux jours à Rossignol.
Souvenez-vous, c’était il y a trois ans, déjà ! Les partenaires du projet Ardenne Ecotourism lançaient un appel à initiatives auprès des professionnels du tourisme ardennais pour les mobiliser autour de la conception de produits écotouristiques novateurs.
Initié en mars 2018, le projet avait reçu 15 candidatures ! Originales, innovantes et durables, les membres du jury ont eu du mal à les départager. La lauréate désignée lors des Rencontres de l’Ardenne à Sedan le 6 décembre, est Madame Valérie Vanheer, propriétaire du gîte LA GRANGE d’YCHIPPE à Leignon (Ciney) avec son projet : La Grange d’Ychippe, une destination de vacances zéro déchet pour les familles.
Laissez-nous vous conter La Grange d’Ychippe, un gîte rural écoresponsable :
Fenêtres ouvertes et têtes au vent, nous suivons la route qui sillonne au gré des champs. Elle se dirige vers le village d’Ychippe où les maisons en pierre de calcaire composent un tableau idyllique à l’échelle humaine. Là, au détour d’un chemin, un gîte de caractère va nous enchanter. A la Grange d’Ychippe, le charme opère, de suite.
Le temps s’écoule ici paisiblement. Que le stress des grandes métropoles semble loin quand nous accueille, avec un grand sourire, Valérie. Elle va se montrer intarissable quant à sa motivation de proposer une autre façon d’aborder le séjour en gîte. A l’ouverture du sien, elle était choquée par le comportement de certains touristes qui laissaient leur déchet et consommaient à n’en plus compter. Que faire, comment éviter de tels gaspillages ? Le label Clé Verte fut, à n’en pas douter, un premier pas vers cette voie du tourisme responsable. En quelques années, le concept s’est développé : il a apporté un nouveau souffle à l’accueil touristique. « Nos visiteurs sont informés de l’importance du tri des déchet et de consommer responsable : Il existe une vraie émulation, une bonne réceptivité de leur part », me dit Valérie.
Un jardin tout mignon
A la Grange d’Ychippe, on vient avec sa voiture presque vide car tout le matériel est disponible sur place. « Pour les familles, je leur fournis des lits de bébés, des poussettes. Ainsi il n’est pas nécessaire de garer la voiture devant le gîte et de gâcher la vue… », rappelle Valérie. Il est vrai que le panorama en face embrasse les collines du Condroz et de l’Ardenne, située à un jet de pierre. Il serait dommage de ne pas profiter de l’ouverture offerte par le jardin, au demeurant, magnifique.
« C’est vrai, je l’aime : il a gardé ce côté spontané que les gens apprécient. Et regarde là-bas au fond, notre lagune est le prolongement naturel de la biodiversité du jardin. Cette véritable mini station d’épuration entre dans la démarche du label Clé Verte…»
Esprit de solidarité
« Une semaine avant leur arrivée, nos visiteurs peuvent réserver leur course sur l’e-shop de Cocoricoop. Je les prends en charge. Et quand ils arrivent, tout est prêt ! »
Valérie va au-delà du simple accueil, quelle bienveillance ! En commandant ces produits du terroir, les visiteurs participent et soutiennent une agriculture locale et respectueuse de l’environnement. En proposant ce système de commercialisation efficace, Cocoricoop rémunère au juste prix le travail des producteurs, situés aux alentours du village. Les visiteurs ont aussi le choix d’effectuer eux-mêmes leur course, à l’épicerie : Valérie leur fournis les récipients pour acheter leur provision en vrac.
Grâce à ses prix tout doux, le gîte est accessible à tous. Il est également ouvert aux enfants du juge, aux mouvements de jeunesse et aux personnes handicapées.
Un séjour tout doux
Le calme de cette région peu urbanisée et la clémence du climat aspirent à la sérénité et à la balade. D’ailleurs, Valérie propose un pique-nique gourmand. Dans le sac à dos, on y trouvera les couverts, les produits du terroir et une carte de randonnée : on laissera bien volontiers le smartphone au gîte ! A la Grange d’Ychippe, on se ressource et on se détend. Venir ici, c’est accepter ce retour aux choses simples. Les visiteurs aspireront à admirer ce petit coin de paradis, à savourer l’air pur et à ressentir des émotions authentiques.
Nous vous invitons à écouter Valérie Van Heer au sujet de son gîte :
Dans le cadre du projet Ardenne Ecotourism, le Parc naturel régional des Ardennes et le Parc naturel Viroin-Hermeton ont installé une série de compteurs de fréquentation sur leur territoire
afin d’observer les flux de randonneurs. Qu’ils soient pédestres, vététistes ou à vélo, ces chiffres clés de l’itinérance douce présentent le nombre de passages enregistrés sur le territoire du Parc en capitalisant sur les compteurs du PNR des Ardennes et ceux de ses partenaires.
Le document en téléchargement ci-dessous, rédigé par le Parc Naturel Régional des Ardennes, présente une analyse de la pratique de l’itinérance douce entre 2018 et 2021.
Le 2 juillet dernier, les différents acteurs du projet Ardenne Ecotourism, institutionnels et adhérents du Club, se sont réunis afin de faire le bilan de 5 années de travail autour du développement du tourisme durable en Ardenne transfrontalière.
Après la conférence de presse qui s’est tenue à la Maison des Randonnées à Haybes, versant français, les participants ont pu profiter des saveurs des produits locaux dans le jardin du Clos Belle Rose. Une balade à vélo était ensuite proposée sur la voie verte, Euro Vélo 19, outil incontournable de l’offre de slow tourisme ardennaise. Les courageux cyclistes ont enfin pu découvrir la toute nouvelle aire de bivouac de Revin. Elle fait partie des 4 nouvelles aires créées dans le cadre du projet Ardenne Ecotourism afin d’encourager la pratique de l’itinérance douce sur le territoire.
Pour rappel, voici les 3 principaux axes d’action du projet :
Accompagner les professionnelspour développer l’écotourisme
La création du club Ardenne Ecotourism a permis d’accompagner 121 professionnels du tourisme -hébergements, restaurants, sites de visite ou prestataires nature- dans leur démarche écoresponsable. Cet accompagnement a pris différentes formes : conseils pour réduire leur impact sur l’environnement et accroître leur compétitivité, modules de formation et d’information, distribution d’outils de sensibilisation et d’animation, appel à initiatives pour valoriser les produits d’écotourisme les plus innovants…
Le circuit court pour les restaurateurs
Mettre en lien les restaurants, tables d’hôtes, food trucks et les producteurs locaux est un autre axe de ce projet. Avec l’opération « Menu de terroir Ardennais », Ardenne Ecotourism vise à valoriser la gastronomie locale ardennaise.
Aménager des sentiers transfrontaliersd’itinérance douce
Aménagement d’aires de bivouacs et d’aires paysagères et contribution au maillage du territoire en chemins de randonnée pédestre et cycliste constituent la dernière action de ce projet. Une importante communication est mise en œuvre via divers canaux pour faire connaître ces réseaux transfrontaliers d’itinérance douce.
Pour ce dernier opus, Valentin Fourdrain, chargé de mission environnement au Parc Naturel Régional des Ardennes nous propose ses conseils pour entretenir son jardin tout en préservant la biodiversité.
Pour en savoir plus, vous pouvez également consulter notre fiche-outil « Jardin et biodiversité »
Dans ce quatrième épisode, nous avons recueilli le témoignage de Julien Dejente, du Clos Belle Rose à Haybes qui nous propose ses solutions pour faire des économies d’énergie.
Pour en savoir plus, consultez également les fiches éco-conseil réalisées dans le cadre du projet AGRETA sur :
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